Nos enfants

Fanta Bah

Fanta est notre premier bébé. C’est en début de soirée que sa maman célibataire a eu le courage de frapper à notre porte pour nous confier ce petit ange. A son arrivée Fanta ne marchait pas encore. Elle est de suite devenue le centre d’intérêt de tous. Fanta notre benjamine a changé la vie de notre fondation. Nous sommes tous grandes Soeurs grands Frères Mère et Père

Bintou Onivogui

Bintou était auparavant dans un orphelinat. C’est lors de nos passages pour aider les orphelinats partenaires que Bintou s’est pris d’affection avec un membre de notre équipe. A chacun de ses départs elle la retenait pour l’empêcher de partir. C’est donc en accord avec notre partenaire que nous avons decidé de la prendre pour quelques semaines au sein de notre fondation. L’amour est suprenant il a plusieurs formes et est souvent imprévisible. Maintenant Bintou fait partie de notre famille reste toujours aussi proche de Thérèse.

Thierno

Avant d’arriver à la Fondation Guilavogui, la vie de Thierno a été un véritable combat. Son père est mort avant sa naissance et sa mère pendant l’accouchement. Bien que sa grand-mère n’ait pas de toit, elle a quand même essayé de prendre soin de Thierno. Grand-mère et petit fils ont lutté toute leur vie en mendiant, en dormant dans des parkings ou dans des garages de fortune. Grâce à Josuha et son équipe, le petit Thierno a enfin un toit au-dessus de sa tête, il peut maintenant dormir tous les jours dans son lit et se projeter plus sereinement dans l’avenir.

Tewa Sitta

Tewa vient tout juste de fêter son premier anniversaire quand la maladie d’Ebola emporte tragiquement sa maman et malheureusement son père ne donne plus de nouvelles. Au village, il se dit qu’il a tenté de fuir vers l’Europe. Tewa a été recueillie par sa grand-mère, dont le mari et cinq autres membres de la famille sont également morts d’Ebola. En raison de ces circonstances difficiles, Tewa n’avait jamais fréquenté l’école avant d’arriver à la Fondation Josuha Guilavogui. Aujourd’hui, elle aime être assise en classe et s’instruire toute la journée. Tewa rêve d’être enseignante aux cotés de Koma et Ibrahima.

Sia Mama

Très jeune, Sia Mama a été rejetée par ses parents biologiques. Naturellement, sa grand-mère a pris le relais malgré les problèmes d’argent et la gestion de sa boutique le long des rues de la ville Dans ce quotidien où le travail était obligatoire, elle a toujours été volontaire et n’a jamais rechigné à aider sa grand-mère. A présent, Sia Mama se repose à la fondation et elle est aussi la meilleure danseuse de notre famille. Elle rêve de devenir médecin tout comme Damarice et Faya Eugène.

Salematou

Paralysé, le père de Salematou a quitté la famille pour retourner vivre dans son village natal. Sa mère n’avait que 16 ans lorsqu’elle s’est mariée son père de près de 40 ans son aîné. Après la naissance de Salematou, elle a emménagé chez sa sœur pour poursuivre ses études. Malheureusement, en l’absence de la mère de Salematou, sa tente n’a pas pu s’occuper convenablement de sa nièce. Salematou a été sévèrement négligé tout au long de sa vie et souffre de grandes craintes d’abandon. Aujourd’hui elle trouve l’affection nécessaire auprès de Damarice. Toutes les deux sont inséparables. Salematou s’adapte lentement à l’orphelinat et se sent visiblement chez elle dans sa nouvelle famille.

Jean-Pierre Kamano

Le père de Jean-Pierre décède quand il n’est âgé que d’un an. Sa mère tente de gagner sa vie par le commerce au marché de Coyah, où il l’accompagne pour l’aider au lieu de se rendre à l’école. Comme certains de ses nouveaux frères et sœurs à l’orphelinat, il était exposé à des risques quotidiens tels que l’agression, la maltraitance et le travail des enfants. À la Fondation Josuha Guilavogui, il peut enfin profiter de sa jeunesse, aller à l’école et grandir dans un environnement protecteur. Il aime passer du temps en cuisine et avec Etienne son “mentor“.

Paul

A l’âge de deux ans, les parents de Paul se séparent et l’abandonne. Son oncle handicapé le recueille dans sa maison, mais en raison de ses soucis de santé, il ne peut s’occuper convenablement de l’enfant. Seul, Paul erre dans les rues de son village natal. Alerté par ses difficultés, la fondation se mobilise. Paul se sent aujourd’hui très à l’aise avec “ ses frères et ses sœurs“ et a enfin découvert l’école. Il aimerait un jour devenir policier.

Moustapha

Orphelin de père, Moustapha a été élevé par sa tante Malheureusement, le salaire de son mari, qui a quatre autres femmes et de nombreux enfants, n’était pas suffisant pour subvenir aux besoins de la famille. Quotidiennement, il manque de la nourriture sur la table pour tout le monde. Moustapha a également été délaissé par manque d’attention. Cela est en train de changer depuis son arrivée à la Fondation Josuha Guilavogui. Josh et son équipe sont ravis d’offrir enfin à Moustapha un foyer aimant. Il peut également compter sur son exemple Mohamed pour devenir grand et fort.

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